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Moi qui suis complétement réfractaire à l’approche y ai pris beaucoup de plaisir, et encore plus en découvrant le final apocalyptique et dramatique de « Inferno », qui représente quand même le pinacle d’une philosophie que beaucoup jugeront surfaite, et qui pourtant caresse les oreilles avec une grandiloquence qui laisse admiratif.

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